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Edito > 0 - 3 ans |

100 000 nouvelles places en crèches d'ici à 2017: mission impossible ?

Article du 19 janvier 2015

Modifier le bloc de couverture

0 - 3 ans  

Le gouvernement annonçait l’année dernière la création d’ici à 2017 de 270 000 nouvelles solutions de garde d’enfants, dont 100 000 places en crèches.

Si le volontarisme affiché ne fait pas débat, l’atteinte de l’objectif semble bien incertaine. En témoigne le nombre de places en crèches qui, en 2013, n’a augmenté « que de » 10 706, soit moitié moins que l'objectif fixé à 21 155 places.

Pourquoi une telle situation ? Au niveau local, le partage des compétences entre les différents financeurs, à savoir les CAF (Caisses d’allocations familiales), les communes et dans une moindre mesure le département, limite l’efficacité de cette politique. Son pilotage est aussi rendu plus difficile par une connaissance encore sommaire de l’offre et des besoins réels des familles, que ces besoins soient clairement exprimés ou non.

Enfin, si les CAF assument les deux tiers du financement des places nouvelles, le tiers restant est à la charge des collectivités locales, qui, souvent en difficulté financière atteignent rapidement les limites de leurs possibilités d’intervention.

Si les partenaires publics ne sont pas en mesure de permettre au gouvernement d’atteindre son ambitieux objectif, qui peut prendre le relais ?

L’appel à la mobilisation des entreprises pour soutenir financièrement le dispositif d’accueil des jeunes enfants est un élément marquant de la politique familiale de ces dernières années, mais cette participation reste encore aujourd’hui insuffisante.

L’implication de l’entreprise en tant qu’opérateur de crèches comme en tant que « cofinanceur » est freiné par la tradition étatique et centralisatrice française, qui n’est pas toujours le terreau le plus fertile pour les corps intermédiaires.

Les opérateurs de crèches privés, dont l’efficacité économique est pourtant établie, sont trop souvent regardés avec circonspection par la CAF, la commune ou le département.

Dix ans après l’ouverture de leurs financements aux structures privées, les membres de la FFEC (Fédération française des entreprises de crèches) gèrent malgré tout 25 000 places aujourd’hui, sur un total de près de 400 000, soit 6 % du total.
Leur succès ne tient pas du hasard et s’appuie sur des choix de développement performants (projets pédagogiques solides, programmes architecturaux originaux et ergonomiques, qualité du personnel, etc.) et une gestion rigoureuse. Les délais d’ouverture d’une crèche interentreprises sont en général compris entre 3 et 9 mois, contre 3 à 4 ans pour une structure municipale ; les coûts d’exploitation peuvent être jusqu’à 30 % inférieurs.

Les salariés ont grandement intérêt à ce que leur entreprise participe au financement de places qui leur sont réservées dans les crèches gérées par des opérateurs privés, qui savent proposer un environnement adapté aux nécessités de la vie professionnelle d’aujourd’hui.
Les entreprises peuvent ainsi mettre en œuvre des actions concrètes en matière de parité et d’égalité professionnelle, fidéliser leurs salariés dont les attentes, au-delà de la rémunération, portent aussi sur l’équilibre et la qualité de vie. Elles peuvent aussi bénéficier de mécanismes fiscaux très incitatifs : conjugués, le crédit impôt famille et la déductibilité totale des dépenses engagées représentent une économie de 83 % des dépenses engagées.

Nous souhaitons, avec vous, qu’un fructueux partenariat « public – privé » se développe pour lutter contre l’actuelle pénurie de places en crèche et qu’ainsi chaque parent se voit proposer une solution adaptée pour la garde de son enfant.

François Knab, Cofondateur

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Le gouvernement annonçait l’année dernière la création d’ici à 2017 de 270 000 nouvelles solutions de garde d’enfants, dont 100 000 places en crèches.

Si le volontarisme affiché ne fait pas débat, l’atteinte de l’objectif semble bien incertaine. En témoigne le nombre de places en crèches qui, en 2013, n’a augmenté « que de » 10 706, soit moitié moins que l'objectif fixé à 21 155 places.

Pourquoi une telle situation ? Au niveau local, le partage des compétences entre les différents financeurs, à savoir les CAF (Caisses d’allocations familiales), les communes et dans une moindre mesure le département, limite l’efficacité de cette politique. Son pilotage est aussi rendu plus difficile par une connaissance encore sommaire de l’offre et des besoins réels des familles, que ces besoins soient clairement exprimés ou non.

Enfin, si les CAF assument les deux tiers du financement des places nouvelles, le tiers restant est à la charge des collectivités locales, qui, souvent en difficulté financière atteignent rapidement les limites de leurs possibilités d’intervention.

Si les partenaires publics ne sont pas en mesure de permettre au gouvernement d’atteindre son ambitieux objectif, qui peut prendre le relais ?

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Leur succès ne tient pas du hasard et s’appuie sur des choix de développement performants (projets pédagogiques solides, programmes architecturaux originaux et ergonomiques, qualité du personnel, etc.) et une gestion rigoureuse. Les délais d’ouverture d’une crèche interentreprises sont en général compris entre 3 et 9 mois, contre 3 à 4 ans pour une structure municipale ; les coûts d’exploitation peuvent être jusqu’à 30 % inférieurs.

Les salariés ont grandement intérêt à ce que leur entreprise participe au financement de places qui leur sont réservées dans les crèches gérées par des opérateurs privés, qui savent proposer un environnement adapté aux nécessités de la vie professionnelle d’aujourd’hui.
Les entreprises peuvent ainsi mettre en œuvre des actions concrètes en matière de parité et d’égalité professionnelle, fidéliser leurs salariés dont les attentes, au-delà de la rémunération, portent aussi sur l’équilibre et la qualité de vie. Elles peuvent aussi bénéficier de mécanismes fiscaux très incitatifs : conjugués, le crédit impôt famille et la déductibilité totale des dépenses engagées représentent une économie de 83 % des dépenses engagées.

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