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magazen | octobre 2015

Edito > 6 - 12 ans |

rythmes scolaires : on attend un bilan scientifique sur la réforme et ses conséquences

Article du 18 octobre 2015

rythmes scolaires : on attend un bilan scientifique sur la réforme et ses conséquences

Quels sont les effets de la réforme des rythmes scolaires (loi Peillon) sur les apprentissages de nos enfants ? Le ministère de l’éducation a promis de lancer plusieurs études pour en évaluer l’impact ; on n’en connait toujours ni le détail ni l’échéancier… Souhaitons que les évaluations promises soient menées très prochainement et que les questions fondamentales dont il a été jusqu’à présent fait abstraction soient enfin abordées.

Pour justifier la réforme des rythmes scolaires, la refondation s’appuie sur les résultats d’une étude…


Cette étude, dénommée PIRLS (Progress in international reading literacy study), mesure tous les cinq ans la maîtrise de la lecture des élèves terminant leur CM1. Il est en effet admis que la maîtrise de la lecture constitue la base même de tous les apprentissages de l’élève tout au long de sa scolarité.


La dernière enquête a été menée en mai 2011 dans 45 pays dont 23 pays européens. En France, 4.438 élèves répartis dans 277 classes de CM1 de 174 écoles élémentaires ont été évalués. Ils appartiennent à la génération qui a débuté sa scolarité en 2008, au moment de la mise en œuvre de la semaine de quatre jours. 

Les résultats de cette enquête, rendus publics en décembre 2012, révèlent la situation dégradée de notre école : avec 520 points, la France n’arrive qu’en 29e position sur 45 pays, au-dessous de la moyenne européenne de 534 points. Autre constat préoccupant : cette baisse de niveau concerne l’ensemble des élèves, et non seulement les élèves en difficulté.


… qui n’étaye pas suffisamment le lien direct entre la dégradation constatée et les rythmes scolaires


Peut-on dire que les rythmes scolaires en vigueur depuis 2008 sont seuls responsables de la baisse constatée des compétences des élèves ? Vraisemblablement non. Les causes en sont multiples, profondes et historiques. De plus, l’étude ne porte que sur la lecture en CM1, ce qui affaiblit de facto les fondements de la réforme. Une grande partie du corps enseignant la considère encore aujourd’hui incomplète et bâclée. 


Pour qu’elle prenne tout son sens, la refonte des rythmes scolaires nécessite que trois questions soient abordées sans détour


1. La revalorisation du statut d'enseignant. Rares sont les professions dont l’image s’est autant dégradée depuis la dernière guerre mondiale. Si le corps enseignant se montre aussi peu enthousiaste pour l’appliquer, c’est en partie pour marquer sa déception face à cette réforme qui ne lui témoigne aucune considération.


2. L’importance des temps non scolaires. Certains chronobiologistes préconisent de travailler moins mais plus régulièrement chaque jour sur la semaine et sur l'année, ce qui entraîne un allongement du nombre de jours de présence à l'école et un raccourcissement des vacances. Ce sujet « oppose » les parents ayant des moyens limités pour faire garder leurs enfants favorables à des semaines de 4,5 ou 5 jours et à des grandes vacances moins longues, à ceux qui considèrent que l'enfant peut s'épanouir au moins autant hors de l'école qu’à l’école. C'est sans doute pourquoi le raccourcissement des grandes vacances, qui présente, en plus, un fort contenu politique, a été reporté.


3. Les modalités de mise en œuvre des nouveaux temps éducatifs et périscolaires. Au-delà des transferts de charges entre l’État et les collectivités, une réflexion de fond doit être engagée sur la participation des territoires au projet éducatif, sur le décloisonnement entre enseignants, municipalité, personnels municipaux, parents et acteurs territoriaux. La réforme semble y inciter à travers le projet éducatif territorial (Pedt). Hélas, les réponses relatives aux moyens et aux verrous culturels et humains à surmonter sont encore loin d’avoir été apportées.

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Interview > 6 - 12 ans |

TV, internet, consoles, dans quel cadre ? Quelles limites ?

Article du 17 octobre 2015

TV, internet, consoles, dans quel cadre ? Quelles limites ?


MagaZEN : « Que se passe-t-il pour un enfant lorsqu’il est devant un écran ? »

Anne-Sophie Chaunu : Avant 3 ans, un tout-petit est en pleine période de construction psychique ; il construit notamment ses repères d'espace et de temps. L'exposition à un écran ralentit et déforme ces acquisitions. En effet, même si l'enfant semble calme et apaisé devant la télévision, ce n'est qu'une illusion car intérieurement, beaucoup d'émotions et de sensations s’agitent et se bousculent. Un enfant de moins de 3 ans a besoin de se construire par lui-même grâce aux interactions et à la communication qu'il peut développer, non par la vue d’écrans. Il ne faut donc pas considérer un écran comme un outil pédagogique et ludique convenant à cet âge.


MagaZEN : « A partir de quel âge peut-on proposer la télévision, internet ou une console de jeux vidéo ? »

A-S.C. : Il est important de prendre en compte l'âge de votre enfant, mais aussi son tempérament. L'âge n'est qu’indicatif ; si vous sentez qu’il n'est pas prêt ou pas intéressé, ne vous sentez pas obligé de lui proposer la télévision, internet ou une console de jeux vidéo.


Selon l’Académie des sciences, il est démontré qu’avant 2 ans, « les écrans non interactifs (télé et DVD) […] peuvent avoir des effets négatifs : prise de poids, retard de langage, déficit d’attention, adoption d’une attitude passive face au monde ». L'avis de l'Académie des sciences n'est pas un avis à charge contre les écrans. C'est bien au contraire une invitation à découvrir tout ce que les écrans peuvent apporter aux enfants, à partir du moment où leur usage est accompagné et l'autorégulation encouragée. Ainsi, les tablettes tactiles peuvent permettre au jeune enfant d'exercer des formes d'intelligence étayées sur le geste, le toucher et l'interaction.


Selon la Société canadienne de pédiatrie, de 2 à 4 ans, les enfants ne devraient pas passer plus d’une heure par jour devant un écran, tous appareils confondus.


Après 4 ans, ce temps ne devrait pas dépasser 2 heures. Entre 4 et 6 ans votre enfant développe ses relations sociales, son imaginaire et sa capacité de mouvement. La télévision et les autres écrans, trop fréquemment utilisés, peuvent alors ralentir son évolution et aussi entrainer des troubles de l’attention, de la somnolence et une certaine insécurité. Regarder un écran peut être, de façon occasionnelle, une activité familiale mais elle exige beaucoup de précautions : pas de publicités ou de journaux télévisés ; soyez sûrs du contenu que vous proposez à votre enfant !


Avant 6 ans, « la possession d’une console ou d’une tablette personnelle présente plus de risques que d’avantages ». 


Entre 6 et 9 ans votre enfant est avide de connaissances et de découvertes. On pourrait donc facilement croire que la télévision et internet peuvent l’aider dans d'éventuelles recherches. Il faut toutefois rester vigilant pour éviter que votre enfant soit confronté à des images de violence (dans une période de questionnement sur le bien et le mal). Cela peut alors jouer sur ses résultats scolaires et ses relations sociales.


Après 9 ans, l'enfant peut commencer à être tenté par les relations sociales que propose internet, notamment les réseaux sociaux qui facilitent ses échanges avec les autres, souvent de façon illusoire.


Il ne faut pas sous-estimer les risques qu’un usage immodéré d’écrans peut faire courir à votre enfant : obésité, diabète, maladies cardiaques, addiction, isolement social.


En conclusion, on peut rappeler la règle du 3-6-9-12 : pas d'écrans avant 3 ans, 1h par jour maximum entre 3 et 6 ans, pas plus de 2h par jour entre 6 et 9 ans et 3h au maximum au-delà de 9 ans.


MagaZEN : « Comment pouvons-nous encadrer et limiter la consommation d'écrans ? »

A-S.C. : Il faut avant toute chose montrer l'exemple et donner de bonnes habitudes dès le plus jeune âge (ne pas laisser la télévision allumée en continu, proposer d'autres activités familiales, ne pas développer soi-même une addiction au numérique... car l'enfant est fortement influencé par l'environnement qui l'entoure. Il est donc important de mettre en cohérence son discours et ses actes.


Il est évident que les parents doivent cadrer le temps d'écran de leur enfant à tout âge, de la naissance jusqu'à la fin de l'adolescence. Mais c'est avoir une idée trop restrictive des écrans et des formidables possibilités qu’ils offrent. En effet, il existe des jeux vidéo qui augmentent les capacités de concentration, d'attention et de prise de décision rapide. Il en existe d'autres qui augmentent les capacités de collaboration et de résolution collective des tâches.


De façon générale, l'utilisation des écrans interactifs renforce la capacité de faire face à l'imprévisible en développant une intelligence fluide et adaptative à l'opposé de l'intelligence « cristallisée » développée par la culture du livre.


Ne pensez pas qu'interdire télévision, internet et consoles est la solution. Bien au contraire ! Cela va créer une frustration et donc une limite que l'enfant aura envie de transgresser.


Il est préférable de dialoguer avec lui, l'informer des risques et des dangers (installez tout de même un logiciel de contrôle parental sur l’ordinateur), et surtout lui apprendre à gérer son temps d'utilisation (un petit planning par exemple). Chez les adolescents, « un usage trop exclusif d’Internet peut créer une pensée zapping […] appauvrissant la mémoire, la capacité de synthèse personnelle et d’intériorité ».

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Pédagogie active > 3 - 6 ans |

le dessin chez l'enfant

Article du 15 octobre 2015

le dessin chez l'enfant

Le dessin permet de développer le sens artistique de votre enfant et d’affirmer sa personnalité. C’est aussi une voie vers l’écriture, ainsi qu’un moyen d’exprimer ses émotions et ses sentiments.

Vers un an, l’enfant s’intéresse aux lignes qu’il trace et cherche à les reproduire. Cette activité constitue la phase de gribouillage. Vers 3 ans, l'enfant commence à dessiner. Il essaie de représenter quelque chose. Les couleurs tiennent du hasard. Cela ne sert à rien de lui demander ce qu’il dessine. Il ne peut pas vous répondre tant qu’il n’a pas fini.


Avant 4 ans, l’enfant ne cherche pas à faire quelque chose de beau, il veut jouer. Il dessine simplement pour le plaisir que cela lui procure. Faire, défaire, coller, décoller, recoller : c’est son jeu favori. Cela contribue à renforcer son estime de lui, car il apprend à avoir du contrôle sur les objets.


Vers 4 ans, il passe à une autre étape : fabriquer et ne pas défaire. Il commence à plier, envelopper, faire des cadeaux. Vous aurez ensuite droit à quantité de dessins!


Autour de 5-6 ans, votre enfant commence à intégrer dans son univers les personnes et les objets qu’il connaît. Toutefois, il ne dessine pas encore la réalité : il représente « ce qu’il sait et non ce qu’il voit » sans vraiment respecter la perspective. Il n’est pas encore capable de réaliser un dessin en trois dimensions, ce qui donne des représentations « aplaties » de ce qu’il imagine. Les premiers détails apparaissent : cheveux, vêtements, doigts, pieds… Lorsqu’il y a des vêtements, il n’est pas rare qu’ils viennent recouvrir les membres : on voit en transparence les bâtons figurant les bras et les jambes.


Vers 7-8 ans : le dessin se fait plus figuratif. Les membres sont pleins, les mains comportent des doigts (pas toujours cinq !), les yeux deviennent réalistes (pupilles, cils), des oreilles.


Des habiletés développées :


Pour dessiner, votre enfant utilise des habiletés motrices (maîtrise des mouvements) pour tenir le crayon, le diriger sur le papier et contrôler son geste. Il utilise également des habiletés de perception : c’est en effet parce qu’il perçoit l’espace et les formes qu’il réussit à organiser son dessin et, plus tard, à copier des lignes et des formes géométriques.


La perception tactile (toucher) permet à votre enfant de bien sentir la craie dans sa main et d’exercer une bonne pression sur le papier, sans le déchirer. Dessiner requiert aussi des habiletés cognitives (connaissances) puisque votre enfant reproduit, en images, ce qu’il connaît du monde.


Comment soutenir son développement ?


Vous pouvez mettre à sa disposition le matériel : peinture, feutres, crayons, images à coller... 


Il est aussi nécessaire de lui laisser vivre sa fantaisie et choisir ses couleurs. Vous pouvez lui dire : « Dans la réalité, les arbres sont bruns et verts, mais tu mets les couleurs que tu veux. ».


Ses dessins n’ont ni formes, ni contours ? Peu importe. Il faut accepter que ses couleurs soient fantaisistes, que ses bonshommes n’aient pas de bras ou de jambes.


Il n’aime pas son dessin ? Plutôt que de lui dire que son dessin est beau, mieux vaut l’amener à réfléchir en lui demandant: « Qu’est-ce que tu n’aimes pas dans ton dessin ? ». Vous pouvez aussi lui expliquer : « Tu sais, ça prend du temps avant d’arriver à faire ce qu’on veut. »


En disant cela, on le met simplement devant la réalité. On apprend à l’enfant à se faire confiance, à développer son estime de soi, et à gérer sa frustration.

Joël Vandemoëre, éducateur de jeunes enfants

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Sélection Zazzen > 0 - 3 ans |

les histoires du soir

Article du 13 octobre 2015

les histoires du soir

L'histoire du soir est un rituel instauré dans beaucoup de familles, c'est un moment de calme et de partage qui amène l'enfant en douceur et en toute sérénité vers le sommeil... Nous partageons avec vous ce mois-ci notre sélection des plus belles histoires à raconter à vos enfants avant de glisser au pays des rêves !

1-3 ans :

  • Au lit doudou !, de Kimiko

Lila a sommeil, pas question de tarder : au lit tout de suite ! Mais pour aller dormir, Lila a besoin de son doudou. Or, le doudou en question a décidé d'entraîner Lila et son ami Mano dans une expédition périlleuse. Pas si simple de se mettre au lit avec Lila et ses amis !

  • Reste un peu, de Bénédicte Guettier

Bonne nuit, dit Maman. Reste un peu, un tout petit peu, dit Loulou. Alors Maman lui fait un câlin. Reste un peu, un tout petit peu, dit encore Loulou. Alors Maman lui lit une histoire...


3-6 ans :

  • Le Petit Prince raconté aux enfants, d’Antoine de Saint-Exupéry

« J'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. ». La merveilleuse histoire du Petit Prince à partager avec son enfant grâce aux aquarelles originales et un texte adapté pour découvrir l'univers tendre et poétique du Petit Prince.

  • Une étoile pour toi, de Josette Chicheportiche

Chaque enfant a son étoile. Comment faire pour la voir? Il faut dormir. Elle ne s'allume dans le ciel qu'au moment où l'on s'endort...


6-9 ans :

  • Trois histoires pour aller dormir, de Jean-Hugues Malineau

Il y a ceux qui se mettent en colère et qui veulent tout casser, ceux qui se tournent et se retournent dans leur lit en s'inventant des histoires effrayantes de diable et de soldats chinois, ou encore ceux qui font tourner leur papa en bourrique... Au moment de se coucher, tout le monde a besoin d'une histoire.

  • Contes de fées, de Rosie Dickins et Nathalie Ragondet

Un recueil d'histoires traditionnelles revisitées pour les enfants d'aujourd'hui, magnifiquement illustré et relié.

Anne-Sophie Chaunu, conseillère en pédagogie et éducatrice de jeunes enfants

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Zazoom > 6 - 12 ans |

les poupées kokeshi

Article du 10 octobre 2015

les poupées kokeshi

Les Kokeshis, à l’origine, sont de petites poupées japonaises que l’on s’offre comme jouets, objets décoratifs ou en gage d’amitié. Le MagaZEN propose ce mois-ci à votre enfant de la réaliser soi-même (à partir de 6 ans) !

Pour créer sa propre poupée japonaise il lui faut :


Matériel :

  • 2 petites bouteilles de préparation laitière à boire
  • Une balle de ping-pong
  • Du riz ou du sable pour lester la bouteille
  • Des ciseaux
  • De la colle à prise rapide (ou pistolet à colle à manier par l’adulte)
  • De la peinture acrylique
  • Un pinceau
  • Un gros marqueur noir résistant à l’eau
  • Une lime à ongle (éventuellement)
  • Du vernis (éventuellement)

Exécution :


1. Préparer les bouteilles

Laver et sécher les bouteilles et retirer la pellicule en plastique qui les recouvre.
Pour toute la fabrication il est recommandé d’utiliser de la peinture sans ajouter d’eau.
Éventuellement, nous conseillons de frotter les bouteilles avec une lime à ongle de façon à supprimer le côté « poli » du plastique. Cela permettra à la peinture de mieux tenir sur la bouteille.


2. Préparer les cheveux de la poupée japonaise Kokeshi

Couper l’une des bouteilles en deux parties égales avec les ciseaux.
Découper une encoche de 1,5 cm de hauteur sur 2,5 cm de large dans la demi-bouteille côté fond.
Peindre l'élément qui vient d'être découpé en noir pour faire les cheveux de la poupée japonaise.


3. Préparer le corps de la poupée japonaise Kokeshi

Peindre entièrement la seconde bouteille : cette bouteille deviendra la robe de la poupée.
Remplir la bouteille de riz, de sable ou de tout autre chose pouvant la lester. Coller la balle de ping-pong sur la bouteille entière pour faire la tête.

Anne-Sophie Chaunu, conseillère en pédagogie et éducatrice de jeunes enfants

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magazen | octobre 2015

Edito > 6 - 12 ans |

rythmes scolaires : on attend un bilan scientifique sur la réforme et ses conséquences

Article du 18 octobre 2015

rythmes scolaires : on attend un bilan scientifique sur la réforme et ses conséquences

Quels sont les effets de la réforme des rythmes scolaires (loi Peillon) sur les apprentissages de nos enfants ? Le ministère de l’éducation a promis de lancer plusieurs études pour en évaluer l’impact ; on n’en connait toujours ni le détail ni l’échéancier… Souhaitons que les évaluations promises soient menées très prochainement et que les questions fondamentales dont il a été jusqu’à présent fait abstraction soient enfin abordées.

Pour justifier la réforme des rythmes scolaires, la refondation s’appuie sur les résultats d’une étude…


Cette étude, dénommée PIRLS (Progress in international reading literacy study), mesure tous les cinq ans la maîtrise de la lecture des élèves terminant leur CM1. Il est en effet admis que la maîtrise de la lecture constitue la base même de tous les apprentissages de l’élève tout au long de sa scolarité.


La dernière enquête a été menée en mai 2011 dans 45 pays dont 23 pays européens. En France, 4.438 élèves répartis dans 277 classes de CM1 de 174 écoles élémentaires ont été évalués. Ils appartiennent à la génération qui a débuté sa scolarité en 2008, au moment de la mise en œuvre de la semaine de quatre jours. 

Les résultats de cette enquête, rendus publics en décembre 2012, révèlent la situation dégradée de notre école : avec 520 points, la France n’arrive qu’en 29e position sur 45 pays, au-dessous de la moyenne européenne de 534 points. Autre constat préoccupant : cette baisse de niveau concerne l’ensemble des élèves, et non seulement les élèves en difficulté.


… qui n’étaye pas suffisamment le lien direct entre la dégradation constatée et les rythmes scolaires


Peut-on dire que les rythmes scolaires en vigueur depuis 2008 sont seuls responsables de la baisse constatée des compétences des élèves ? Vraisemblablement non. Les causes en sont multiples, profondes et historiques. De plus, l’étude ne porte que sur la lecture en CM1, ce qui affaiblit de facto les fondements de la réforme. Une grande partie du corps enseignant la considère encore aujourd’hui incomplète et bâclée. 


Pour qu’elle prenne tout son sens, la refonte des rythmes scolaires nécessite que trois questions soient abordées sans détour


1. La revalorisation du statut d'enseignant. Rares sont les professions dont l’image s’est autant dégradée depuis la dernière guerre mondiale. Si le corps enseignant se montre aussi peu enthousiaste pour l’appliquer, c’est en partie pour marquer sa déception face à cette réforme qui ne lui témoigne aucune considération.


2. L’importance des temps non scolaires. Certains chronobiologistes préconisent de travailler moins mais plus régulièrement chaque jour sur la semaine et sur l'année, ce qui entraîne un allongement du nombre de jours de présence à l'école et un raccourcissement des vacances. Ce sujet « oppose » les parents ayant des moyens limités pour faire garder leurs enfants favorables à des semaines de 4,5 ou 5 jours et à des grandes vacances moins longues, à ceux qui considèrent que l'enfant peut s'épanouir au moins autant hors de l'école qu’à l’école. C'est sans doute pourquoi le raccourcissement des grandes vacances, qui présente, en plus, un fort contenu politique, a été reporté.


3. Les modalités de mise en œuvre des nouveaux temps éducatifs et périscolaires. Au-delà des transferts de charges entre l’État et les collectivités, une réflexion de fond doit être engagée sur la participation des territoires au projet éducatif, sur le décloisonnement entre enseignants, municipalité, personnels municipaux, parents et acteurs territoriaux. La réforme semble y inciter à travers le projet éducatif territorial (Pedt). Hélas, les réponses relatives aux moyens et aux verrous culturels et humains à surmonter sont encore loin d’avoir été apportées.

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Interview > 6 - 12 ans |

TV, internet, consoles, dans quel cadre ? Quelles limites ?

Article du 17 octobre 2015

TV, internet, consoles, dans quel cadre ? Quelles limites ?


MagaZEN : « Que se passe-t-il pour un enfant lorsqu’il est devant un écran ? »

Anne-Sophie Chaunu : Avant 3 ans, un tout-petit est en pleine période de construction psychique ; il construit notamment ses repères d'espace et de temps. L'exposition à un écran ralentit et déforme ces acquisitions. En effet, même si l'enfant semble calme et apaisé devant la télévision, ce n'est qu'une illusion car intérieurement, beaucoup d'émotions et de sensations s’agitent et se bousculent. Un enfant de moins de 3 ans a besoin de se construire par lui-même grâce aux interactions et à la communication qu'il peut développer, non par la vue d’écrans. Il ne faut donc pas considérer un écran comme un outil pédagogique et ludique convenant à cet âge.


MagaZEN : « A partir de quel âge peut-on proposer la télévision, internet ou une console de jeux vidéo ? »

A-S.C. : Il est important de prendre en compte l'âge de votre enfant, mais aussi son tempérament. L'âge n'est qu’indicatif ; si vous sentez qu’il n'est pas prêt ou pas intéressé, ne vous sentez pas obligé de lui proposer la télévision, internet ou une console de jeux vidéo.


Selon l’Académie des sciences, il est démontré qu’avant 2 ans, « les écrans non interactifs (télé et DVD) […] peuvent avoir des effets négatifs : prise de poids, retard de langage, déficit d’attention, adoption d’une attitude passive face au monde ». L'avis de l'Académie des sciences n'est pas un avis à charge contre les écrans. C'est bien au contraire une invitation à découvrir tout ce que les écrans peuvent apporter aux enfants, à partir du moment où leur usage est accompagné et l'autorégulation encouragée. Ainsi, les tablettes tactiles peuvent permettre au jeune enfant d'exercer des formes d'intelligence étayées sur le geste, le toucher et l'interaction.


Selon la Société canadienne de pédiatrie, de 2 à 4 ans, les enfants ne devraient pas passer plus d’une heure par jour devant un écran, tous appareils confondus.


Après 4 ans, ce temps ne devrait pas dépasser 2 heures. Entre 4 et 6 ans votre enfant développe ses relations sociales, son imaginaire et sa capacité de mouvement. La télévision et les autres écrans, trop fréquemment utilisés, peuvent alors ralentir son évolution et aussi entrainer des troubles de l’attention, de la somnolence et une certaine insécurité. Regarder un écran peut être, de façon occasionnelle, une activité familiale mais elle exige beaucoup de précautions : pas de publicités ou de journaux télévisés ; soyez sûrs du contenu que vous proposez à votre enfant !


Avant 6 ans, « la possession d’une console ou d’une tablette personnelle présente plus de risques que d’avantages ». 


Entre 6 et 9 ans votre enfant est avide de connaissances et de découvertes. On pourrait donc facilement croire que la télévision et internet peuvent l’aider dans d'éventuelles recherches. Il faut toutefois rester vigilant pour éviter que votre enfant soit confronté à des images de violence (dans une période de questionnement sur le bien et le mal). Cela peut alors jouer sur ses résultats scolaires et ses relations sociales.


Après 9 ans, l'enfant peut commencer à être tenté par les relations sociales que propose internet, notamment les réseaux sociaux qui facilitent ses échanges avec les autres, souvent de façon illusoire.


Il ne faut pas sous-estimer les risques qu’un usage immodéré d’écrans peut faire courir à votre enfant : obésité, diabète, maladies cardiaques, addiction, isolement social.


En conclusion, on peut rappeler la règle du 3-6-9-12 : pas d'écrans avant 3 ans, 1h par jour maximum entre 3 et 6 ans, pas plus de 2h par jour entre 6 et 9 ans et 3h au maximum au-delà de 9 ans.


MagaZEN : « Comment pouvons-nous encadrer et limiter la consommation d'écrans ? »

A-S.C. : Il faut avant toute chose montrer l'exemple et donner de bonnes habitudes dès le plus jeune âge (ne pas laisser la télévision allumée en continu, proposer d'autres activités familiales, ne pas développer soi-même une addiction au numérique... car l'enfant est fortement influencé par l'environnement qui l'entoure. Il est donc important de mettre en cohérence son discours et ses actes.


Il est évident que les parents doivent cadrer le temps d'écran de leur enfant à tout âge, de la naissance jusqu'à la fin de l'adolescence. Mais c'est avoir une idée trop restrictive des écrans et des formidables possibilités qu’ils offrent. En effet, il existe des jeux vidéo qui augmentent les capacités de concentration, d'attention et de prise de décision rapide. Il en existe d'autres qui augmentent les capacités de collaboration et de résolution collective des tâches.


De façon générale, l'utilisation des écrans interactifs renforce la capacité de faire face à l'imprévisible en développant une intelligence fluide et adaptative à l'opposé de l'intelligence « cristallisée » développée par la culture du livre.


Ne pensez pas qu'interdire télévision, internet et consoles est la solution. Bien au contraire ! Cela va créer une frustration et donc une limite que l'enfant aura envie de transgresser.


Il est préférable de dialoguer avec lui, l'informer des risques et des dangers (installez tout de même un logiciel de contrôle parental sur l’ordinateur), et surtout lui apprendre à gérer son temps d'utilisation (un petit planning par exemple). Chez les adolescents, « un usage trop exclusif d’Internet peut créer une pensée zapping […] appauvrissant la mémoire, la capacité de synthèse personnelle et d’intériorité ».

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le dessin chez l'enfant

Article du 15 octobre 2015

le dessin chez l'enfant

Le dessin permet de développer le sens artistique de votre enfant et d’affirmer sa personnalité. C’est aussi une voie vers l’écriture, ainsi qu’un moyen d’exprimer ses émotions et ses sentiments.

Vers un an, l’enfant s’intéresse aux lignes qu’il trace et cherche à les reproduire. Cette activité constitue la phase de gribouillage. Vers 3 ans, l'enfant commence à dessiner. Il essaie de représenter quelque chose. Les couleurs tiennent du hasard. Cela ne sert à rien de lui demander ce qu’il dessine. Il ne peut pas vous répondre tant qu’il n’a pas fini.


Avant 4 ans, l’enfant ne cherche pas à faire quelque chose de beau, il veut jouer. Il dessine simplement pour le plaisir que cela lui procure. Faire, défaire, coller, décoller, recoller : c’est son jeu favori. Cela contribue à renforcer son estime de lui, car il apprend à avoir du contrôle sur les objets.


Vers 4 ans, il passe à une autre étape : fabriquer et ne pas défaire. Il commence à plier, envelopper, faire des cadeaux. Vous aurez ensuite droit à quantité de dessins!


Autour de 5-6 ans, votre enfant commence à intégrer dans son univers les personnes et les objets qu’il connaît. Toutefois, il ne dessine pas encore la réalité : il représente « ce qu’il sait et non ce qu’il voit » sans vraiment respecter la perspective. Il n’est pas encore capable de réaliser un dessin en trois dimensions, ce qui donne des représentations « aplaties » de ce qu’il imagine. Les premiers détails apparaissent : cheveux, vêtements, doigts, pieds… Lorsqu’il y a des vêtements, il n’est pas rare qu’ils viennent recouvrir les membres : on voit en transparence les bâtons figurant les bras et les jambes.


Vers 7-8 ans : le dessin se fait plus figuratif. Les membres sont pleins, les mains comportent des doigts (pas toujours cinq !), les yeux deviennent réalistes (pupilles, cils), des oreilles.


Des habiletés développées :


Pour dessiner, votre enfant utilise des habiletés motrices (maîtrise des mouvements) pour tenir le crayon, le diriger sur le papier et contrôler son geste. Il utilise également des habiletés de perception : c’est en effet parce qu’il perçoit l’espace et les formes qu’il réussit à organiser son dessin et, plus tard, à copier des lignes et des formes géométriques.


La perception tactile (toucher) permet à votre enfant de bien sentir la craie dans sa main et d’exercer une bonne pression sur le papier, sans le déchirer. Dessiner requiert aussi des habiletés cognitives (connaissances) puisque votre enfant reproduit, en images, ce qu’il connaît du monde.


Comment soutenir son développement ?


Vous pouvez mettre à sa disposition le matériel : peinture, feutres, crayons, images à coller... 


Il est aussi nécessaire de lui laisser vivre sa fantaisie et choisir ses couleurs. Vous pouvez lui dire : « Dans la réalité, les arbres sont bruns et verts, mais tu mets les couleurs que tu veux. ».


Ses dessins n’ont ni formes, ni contours ? Peu importe. Il faut accepter que ses couleurs soient fantaisistes, que ses bonshommes n’aient pas de bras ou de jambes.


Il n’aime pas son dessin ? Plutôt que de lui dire que son dessin est beau, mieux vaut l’amener à réfléchir en lui demandant: « Qu’est-ce que tu n’aimes pas dans ton dessin ? ». Vous pouvez aussi lui expliquer : « Tu sais, ça prend du temps avant d’arriver à faire ce qu’on veut. »


En disant cela, on le met simplement devant la réalité. On apprend à l’enfant à se faire confiance, à développer son estime de soi, et à gérer sa frustration.

Joël Vandemoëre, éducateur de jeunes enfants

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Sélection Zazzen > 0 - 3 ans |

les histoires du soir

Article du 13 octobre 2015

les histoires du soir

L'histoire du soir est un rituel instauré dans beaucoup de familles, c'est un moment de calme et de partage qui amène l'enfant en douceur et en toute sérénité vers le sommeil... Nous partageons avec vous ce mois-ci notre sélection des plus belles histoires à raconter à vos enfants avant de glisser au pays des rêves !

1-3 ans :

  • Au lit doudou !, de Kimiko

Lila a sommeil, pas question de tarder : au lit tout de suite ! Mais pour aller dormir, Lila a besoin de son doudou. Or, le doudou en question a décidé d'entraîner Lila et son ami Mano dans une expédition périlleuse. Pas si simple de se mettre au lit avec Lila et ses amis !

  • Reste un peu, de Bénédicte Guettier

Bonne nuit, dit Maman. Reste un peu, un tout petit peu, dit Loulou. Alors Maman lui fait un câlin. Reste un peu, un tout petit peu, dit encore Loulou. Alors Maman lui lit une histoire...


3-6 ans :

  • Le Petit Prince raconté aux enfants, d’Antoine de Saint-Exupéry

« J'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. ». La merveilleuse histoire du Petit Prince à partager avec son enfant grâce aux aquarelles originales et un texte adapté pour découvrir l'univers tendre et poétique du Petit Prince.

  • Une étoile pour toi, de Josette Chicheportiche

Chaque enfant a son étoile. Comment faire pour la voir? Il faut dormir. Elle ne s'allume dans le ciel qu'au moment où l'on s'endort...


6-9 ans :

  • Trois histoires pour aller dormir, de Jean-Hugues Malineau

Il y a ceux qui se mettent en colère et qui veulent tout casser, ceux qui se tournent et se retournent dans leur lit en s'inventant des histoires effrayantes de diable et de soldats chinois, ou encore ceux qui font tourner leur papa en bourrique... Au moment de se coucher, tout le monde a besoin d'une histoire.

  • Contes de fées, de Rosie Dickins et Nathalie Ragondet

Un recueil d'histoires traditionnelles revisitées pour les enfants d'aujourd'hui, magnifiquement illustré et relié.

Anne-Sophie Chaunu, conseillère en pédagogie et éducatrice de jeunes enfants

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Zazoom > 6 - 12 ans |

les poupées kokeshi

Article du 10 octobre 2015

les poupées kokeshi

Les Kokeshis, à l’origine, sont de petites poupées japonaises que l’on s’offre comme jouets, objets décoratifs ou en gage d’amitié. Le MagaZEN propose ce mois-ci à votre enfant de la réaliser soi-même (à partir de 6 ans) !

Pour créer sa propre poupée japonaise il lui faut :


Matériel :

  • 2 petites bouteilles de préparation laitière à boire
  • Une balle de ping-pong
  • Du riz ou du sable pour lester la bouteille
  • Des ciseaux
  • De la colle à prise rapide (ou pistolet à colle à manier par l’adulte)
  • De la peinture acrylique
  • Un pinceau
  • Un gros marqueur noir résistant à l’eau
  • Une lime à ongle (éventuellement)
  • Du vernis (éventuellement)

Exécution :


1. Préparer les bouteilles

Laver et sécher les bouteilles et retirer la pellicule en plastique qui les recouvre.
Pour toute la fabrication il est recommandé d’utiliser de la peinture sans ajouter d’eau.
Éventuellement, nous conseillons de frotter les bouteilles avec une lime à ongle de façon à supprimer le côté « poli » du plastique. Cela permettra à la peinture de mieux tenir sur la bouteille.


2. Préparer les cheveux de la poupée japonaise Kokeshi

Couper l’une des bouteilles en deux parties égales avec les ciseaux.
Découper une encoche de 1,5 cm de hauteur sur 2,5 cm de large dans la demi-bouteille côté fond.
Peindre l'élément qui vient d'être découpé en noir pour faire les cheveux de la poupée japonaise.


3. Préparer le corps de la poupée japonaise Kokeshi

Peindre entièrement la seconde bouteille : cette bouteille deviendra la robe de la poupée.
Remplir la bouteille de riz, de sable ou de tout autre chose pouvant la lester. Coller la balle de ping-pong sur la bouteille entière pour faire la tête.

Anne-Sophie Chaunu, conseillère en pédagogie et éducatrice de jeunes enfants

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